From the divine celebration of Aaron Levin:
Janela burns eternal; an outlier within the data-set of cosmic dance musik. Layers of its breath carry our spirits, buoyed by waves of emotional grace. Each listening a ceremony; a christening for THOMAS' ascension. Every song a Eucharist; a celebration for the last feast of genre. And each movement brimming with quanta of popular majesty, shimmering in sync by the union of the jazz. It is heaven. It is joy. It is love. Janela is our last supper. And our revelation. Join hands, minds, and hearts with your neighbour as our spirits dance with ecclesiastical smoothness into the heavens of rhythm and bass.De la fête divine d’Aaron Levin: (Traduit par le paradis éternel de Maya Keshav)
Janela vit éternellement; un cas unique dans l’ensemble de données sur la dance cosmique. Les couches de son souffle font voler nos esprits, soutenus par les ondes de grâce emotionnel. Chaque écoute est une cérémonie; un baptême pour l’ascension de THOMAS. Chaque chanson est une Eucharistie; une fête pour le dernier festin de genre. Et chaque mouvement déborde de quanta de majesté populaire, en chatoyant en phase par l’union du jazz. C’est le paradis. C’est la joie. C’est l’amour. Janela est notre Cène. Et notre révélation. Joignons les mains, les têtes et les cœurs avec ton voisin pendant que nos esprits dansent avec la douceur ecclésiastique dans les cieux de rythme et de basse.