From the synthetic mellowings of Aaron Levin:
In the not-too-distant future, Joshua Stevenson will be listed in the canon of modern Canadian synthesia. Earlier this year we saw the release of Josh's debut into meanderonic minimalism via his solo project magneticring. Meanwhile, an ensemble of Vancouver-area heavyweights (including Josh), titling themselves Von Bingen, reared a massive, ugly head in the latter half of the annum with a difficult-to-find LP of perturbed disquality. Channeling the early fuse of Irrlicht-era Klaus Schulze with droning, distorted guitar fanfare amongst cathedrals of unorganic chambers, Von Bingen subjects you to a sexcellent multi-textual unification of analog-electro genius. Pulsing mechanics, forced dualities, and atonal guitar workouts part the static stasis within the dark shadows of your listening cosmos and reveal the inner beat of our earthic tunings. Part psychedelic, part synthetic, part experimental, but as a whole, rewarding on multiple listens; an entity better heard than read. Packaged with a loving, two-colour essay.
Des moelleusements synthétiques dAaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav)
Dans un avenir pas trop loin, Joshua Stevenson, se joindra aux rangs de la synthesthésie moderne du Canada. Plus tôt cette année on a vu le lancement du début de Josh dans le minimalisme nébuleux avec son projet solo magneticring. Pendant ce temps, un ensemble des poids lourds vancouverois (y compris Josh), en s’appellant Von Bingen, a pointé le bout de son nez à la fin de l’année avec un LP difficile-à-trouver d’une disqualité troublée. Étant inspiré par la première mèche de Klaus Schulze à l’ère d’Irrlicht avec la fanfare bourdonnante et déformée de la guitare parmi les cathédrales de chambres inorganiques, Von Bingen te sousmet à une unification multi-textuelle sexcellente du génie analog-electro. La mécanique pulsante, les dualités forcées, et les exercices atonales de guitare séparent l’équilibre statique dans les ombres noires de ton cosmos de l’écoute, en révélant le rythme intérieur de nos mélodies terrestres. Une partie psychédélique, une partie synthétique, une partie experimentale, mais en entier, il est gratifiantes à l’écoute multiple; une entité qu’il vaut mieux écouter que lire. Emballé avec une rédaction aimante en deux couleurs.