From the synthetic mellowings of Aaron Levin:
Weird Canada HQ is under the Tonstartssbandht spell, so instead of posting the Dick Nights review, I'll post a review of the fictional Dick Nights movie running through my mind. Dick Nights documents the mescaline-induced wanderings of a brotherly Barbershop duo lost in east L.A. They're trying to win earth and save their father who fell ill after drinking left-over TMNT™ ooze during his brief stint as an extra for the Turtles in Time remake. Only Christmas caroling in the world's most falsely represented neighborhood will raise the funds necessary for dad's ooze transplant (what?). And so Edwin and Edwin's-brother, armed with looping pedals and the most extravagant pop hollerings this side of any Disney™ soundtrack, are ready to expropriate your mind with their choralic minimalism. They've amassed a new world order with their throats; poor souls hypnotized under Tosntartssbandht's cosmic orations, every jangled follower a vocal-cog in their diabolic choir soon capable of singing to the world. Aim your voices high, my friends, because there's only one thing standing between Tonstartssbandht and the money needed for their dad's surgery... THIS SATURDAY... OPEN UP AND SING... DICK NIGHTSSSSSSSSSS.
Des moelleusements synthétiques d'Aaron Levin: (Traduit par la boîte à rythmes de Odile Leclerc)
Le QG de Weird Canada est sous le charme de Tonstartssbandht, alors à la place d’afficher la révision de Dick Nights, je vais afficher une critique du film fictionnel de Dick Nights qui joue à travers mon esprit. Dick Nights documente les vagabondages induit de mescaline du duo fraternel Barbershop perdu dans L.A. Est. Ils essaient de gagner la terre ferme et sauver leur père qui est tombé malade après avoir bu des restants de boue de TMNT™ durant sont bref séjour comme un extra pour la reprise des Turtles in Time. Seulement aller faire des cantiques de Noël dans les quartiers les plus faussement représentés du monde va lever les fonds nécessaires pour la transplantation de vase de papa (quoi?). Et ainsi Edwin et le frère d’Edwin, armés de pédales en boucle et du pop le plus extravagant qui beugle ce côté de n’importe quelle chanson de Disney™, sont prêts à exproprier votre esprit avec leur minimalisme de choral. Ils ont amassé un nouvel ordre mondial avec leurs gorges; de pauvres âmes hypnotisées sous les oraisons cosmiques de Tosntartssbandht, chaque suivant sonné, un rouage vocal dans leur chœur diabolique bientôt capable de chanter au monde. Visez haut avec vos voix, mes amis, parce que c’est la seule chose se tenant entre Tonstartssbandht et l’argent nécessaire pour la chirurgie de père... CE SAMEDI... ÉPANOUISSEZ-VOUS ET CHANTEZ... DICK NIGHTSSSSSSSSS.