From the burnt-cadillac remains of Aaron Levin:
Gilded Flowers, The Pink Noise's first on Montreal's Campaign for Infinity, is their most realized cabaret of drum-machine bustitude (and probably why the cassette is already on its third printing). Subjecting yourself to every burnt guitar solo and car-wrecked bass-line will give you the succinct impression that The Pink Noise's front-man slammed a lot of doors, hung out in arcades, and owned a leather jacket at the age of 10. Thus, Gilded Flowers becomes an 80s vision of the future: computer screens as gateways into incomprehensible lo-bit realities, nuclear punk the specter of pop music, alleyways brimming with undiscovered societies, and every kid smoking cigarettes and selling ATM-hacking chips; it's the slow degeneration of our welfare state into psychedelic-fiction. Freejack punk for a new generation of post-modern wastoids. And it's all yours for $6.99.
Des restants de la Cadillac brûlée d’Aaron Levin: (Traduit par la boîte à rythmes de Odile Leclerc)
La première de Gilded Flowers et The Pink Noise sur la Capaign for Infinity de Montréal, est leur cabaret le plus réalisé de batterie à sec (et probablement pourquoi la cassette est déjà à sa troisième impression). Vous soumettre à chaque solo de guitare brûlée et a chaque ligne de basse de voiture accidentée va vous donné l’impression succincte que le chanteur de The Pink Noise claque beaucoup de portes, traîne dans les arcades et possède un gilet de cuir depuis l’âge de 10 ans. Ainsi, Gilded Flowers devient une vision du future des années 80; des écrans d’ordinateurs comme portail vers d’incompréhensibles réalités lo-fi, de punk nucléaire le spectre de musique pop, d’allées remplies de sociétés non découvertes et chaque jeune qui fume des cigarettes et vendant des puces de piratage d’ATM; c’est une dégénération lente de notre état bien être dans une fiction psychédélique. Un punk Freejack pour une nouvelle génération de résidus postmoderne. Et c’est tout à vous pour 6.99$.