From the ghostly bedding of Aaron Levin:
Vancouver's synthetic underground is bubbling for the second time since the 80s when labels and artists were populating basements, clubs, cassette racks, and ideas with bleak drum machines and coarse synthesizers. COSMETICS, magneticring, N.213, Twin Crystals, MYTHS, Von Bingen, Haunted Beard, [insert band I'm forgetting] and now the industrial gothic Mode Moderne project Vancouver as a city on the brink of a synth-adjective explosion. Ghosts Emerging live centre-stage in the unassuming minimal-synth-pop arena with secret conviction and harmonic prowess, drifting listeners on their currents of nostalgic woe. Vocalist Phillip Intile's non-chalant industrial modulations makes the whole trip strangely manipulative as you wake up mid-album unaware of your new musical surroundings: pulsing drum machines, swathy synthesizers, ethereal guitar leads, and blankets of ambient-satin. Let's welcome the new age.De la literie fantomatique Aaron Levin: (Traduit par la boîte à rythmes de Odile Leclerc)
Les souterrains synthétiques de Vancouver bouillonnent pour la deuxième fois depuis les années 80 quand les étiquettes et les artistes habitaient les sous-sols, les clubs, les étagères de cassettes et les idées avec des batteries mornes et des synthétiseurs grossiers. COSMETICS, magneticring, N.213, Twin Crystals, MYTHS, Von Bingen, Haunted Beard [insérez les groupes que j’ai oubliés] et maintenant l’industriel et gothique Mode Moderne Project Vancouver en tant que ville au bord de l’explosion d’adjectifs synth. Des fantômes émergeant en direct du stage central dans la modeste aréna de pop en minimal-synth avec des convictions secrètes et des prouesses harmoniques, un auditoire qui laisse emporter sur leurs courants de malheurs. Les modulations industrielles du chanteur nonchalant Phillip Intile rendent ce voyage au complet étrangement manipulatif alors que vous vous réveillez à la moitié de l’album inconscient de votre nouvel entourage musical : des batteries palpitantes, des synthétiseurs en rang, des solos de guitares étherales, des couvertures de satin-ambiant. Accueillons le nouvel âge.