From the solitary confinement of Aaron Levin
Digging deep in the recesses of Sydney, Nova Scotia's musical tar ponds, Mess Folk returns with a trio of serotonin-deprived hymns for the emotionally-challenged. Mess Folk's HoZac debut will uproot your anchors and rip apart any notion of mental-stability. The aural spectacle sounds like lost recordings of Nirvana live in Hobbiton; a sparsely attended minor-key distortion-fest populated by meth-afflicted hobbits and rejects from Gummo's casting call. It's all the more real because of its absurd projection, adding musical meanderings to ideas usually debated by stale academics. It's uncomfortable, challenging, awful, and speaks to every secret plan you've made to escape the reality of being. You will hate it, but best of all: you will hate yourself. A+++.De la cellule d’isolement d’Aaron Levin: (Traduit par Maya Keshav)
Creusant profondément dans les recoins de Sydney, des marres de goudron musicale de Nouvelle-Écosse, Mess Folk revient avec un trio d’hymnes en manque de sérotonine pour ceux qui sont en difficulté émotionnelle. Les débuts d’HoZac de Mess Folk vont déraciner vos ancres et déchirer toute notion de stabilité mentale. Le spectacle auditif sonne comme un enregistrement perdu de Nirvana vit à Hobbiton; une fête de distorsion en touche mineur avec peu de présence habitée de hobbits sur la meth et qui rejette de l’appel de casting de Gummo. Ce n’en est que plus vrai à cause de sa projection absurde, ajoutant des méandres musicaux aux idées habituellement débattues par des universitaires rassis. C’est inconfortable, ça l’offre un défi, affreux, et parle à chaque plan secret que vous avez fait pour échapper à la réalité d’être. Vous allez détester, mais le meilleur d’entre tous : vous allez vous détester. A+++.