From every fleeting moment of Aaron Levin:
Montreal has effortlessly cultivated an ensemble of pop creators ready to fill any niche, pocket, or corner. Thus, it comes as no surprised that Devon Welsh was nurtured in the same wasteland of Montreal that produced Sean Nicholas Savage, The Pop Winds, Matt Perri, and other spectacular curators I'm forgetting. Juxtaposing his backdrop of distorted, reverberated murmurings with pop-savvy guitar leads and harmonies, Welsh delivers a surprisingly pastoral post-burn-out too-soon-for-whiskey-but-too-late-for-breakfast introduction to the universe. Too full for the abrasive lo-fi popular amongst Da Youth™ and too earnest for the Steely Dans of the world, Welcome exists in the ether between things; invitations to catchy exploration.
De chaque instant d’Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav)
Montréal cultive sans effort un ensemble de créateurs pop prêts à remplir n’importe quelle niche, ou poche, ou coin. Bon alors, il n’est pas surprenant que Devon Walsh était élevé dans le même terrain vague de Montréal qui a produit Sean Nicholas Savage, The Pop Winds, Matt Perri, et les autres conservateurs spectaculairs que je suis en train d’oublier. En juxtaposant sa toile de fond des murmurations déformées et réverbérées et les mélodies de guitare et les harmonies pop-connaissantes, Welsh fournit un post-épuisement étonnamment pastoral trop-tôt-pour-le-whisky-mais-trop-tard-pour-le-petit-déjeuner introduction à l’univers. Trop lourd pour le lo-fi abrasif populaire parmi La-Jeu-Ness et trop honnête pour les Steely Dans du monde, Welcome existe dans le ciel entre les choses; les invitations à l’exploration entraînante.