From the pubic strain of Aaron Levin:
From the strained, harrowing winces fluttering throughout "China Steps," to the obliterated guitar wrenching on "Drag Open," Women's sophomore perturbation is a decimating paradigm shift within pop musicalia's gothic waters. Mesmeric bass lines forge an unstoppable avant-pop matrix transfiguring all notions of stringed cacophony; harmonies dust their standing waves with glimmers of luminous decay; and an endless supply of static coalesces their rock abandon. For all its minor-key desolation, Public Strain is not without its hopeful glimmers; the singular listening experience is cemented with bursts of sunlight through splintering corsets of lysergia. Women haveDe l’élongation pubienne d’Aaron Levin: (Traduit par Maya Keshav)
Des grimaces claquées et éprouvantes qui battent pendant “China Steps”, jusqu’à l’arrachement détruit de guitare de “Drag Open”, la perturbation adolescente de Women est une révolution conceptuelle qui décime les eaux gothiques du pop musicalia. Les mélodies hypnotiques de basse façonnent une matrice irrésistible d’avant-pop qui transfigure toutes notions de cacophonie cordée; les harmonies sapoudrent leurs ondes stationnaires de miroitements de décomposition lumineuse; et une source intarissable de larsen se fond avec leur abandon rock. Malgré toute sa désolation en mode mineur, Public Strain n’est pas vide de miroitements d’espoir; l’expérience unique d’écoute est cimentée avec les éclats du soleil entre les corsets écailleux du LSD. Women ont