From the american shunnery of Aaron Levin:
Dirty Beaches' low-bit explorations through reverb hell have reached an all-time high on the synesthesia scale. Bubbling, smokey pulses of burnt low-end colour his spectrum of hazy crooning and rolling bass-lines like never before. The proto-apocalyptic rock and roll has become a psychotic ride through slow, droning waves of mystery and fear. Songs like "16 Coaches Long Akai Tape" will permeate your grey matter and desecrate any low-light associations, mercilessly running through your mind onwards. The split 7" is beautifully paired with Philadelphia's U.S. Girls.De l’évitement américain d’Aaron Levin: (Traduit par les plages sales de Maya Keshav)
Les explorations des débit binaires faibles à travers l’enfer de réverbération de Dirty Beaches ont atteint un nouveau hauteur sur l’échelle de synesthésie. Les pulsations bouillonnantes et enfumées de low-end brûlé faussent son éventail de fredonnements flous et de mélodies déferlantes de basse comme jamais vu. Le rock proto-apocalyptique est devenu un voyage psychotique dans les ondes lentes et bourdonnantes de mystère et de peur. Les telles chansons que “16 Coaches Long Akai Tape” va imprégner ta matière grise et profaner n’importe quelle association de peu lumière, en courant impitoyablement à travers ta tête. Le 7” divisé est merveilleusement jumelé avec U.S. Girls de Philadephia.