From the non-repeating decimal of Alex Vance:
Experimental garage/fuzz/new wave outfit The Pink Noise have come a-knocking with their new album Wave, and you’ll want to answer the door. It’s gunshots in opium dens, where keyboards buzz and drums swagger. Cuts like “Shit Talk” and “Dear Gods of Slapstick” hang out in your brain and paint tube-fuzz garage graffiti on the walls shaped like vintage guitar echo. “Lurid Future” bubbles over with pure, melodic doom. The songwriting is all at once a fantastic, cohesive mess that spikes serotonin levels and dilates pupils. If they’re putting something funny in that Montreal water, we’ll take a big gulp.
Du nombre décimal entier d'Alex Vance: (Traduit par l'équation insolvable de Louis-Félix Pellerin)
Pink Noise, le groupe de garage/fuzz/new wave expérimental, sont à la porte avec Wave, leur nouvel album, et vous voudrez certainement les laisser entrer. Ce sont des coups de feu retentissant dans des fumeries d’opium où les claviers bourdonnent et où les tambours se laissent aller. Des morceaux comme « Shit Talk » et « Dear Gods of Slapstick » vous restent en tête en éclaboussant les murs de leur peinture bourdonnante, les couvrant de graffiti de garage qui représentent l’écho de guitare classique. « Lurid Future » bouillonne d’une ruine pure et mélodique. La composition est à la fois un capharnaüm cohésif et fantastique qui déclenche une montée des niveaux de sérotonine et qui dilate les pupilles. Si c’est l’effet de quelque chose de bizarre qu’ils répandent dans l’eau de Montréal, nous en prendrons volontiers une bonne gorgée.