From the ungodly broth of Jared Majeski:
Inhabiting the same netherworld that bore another wyrd shapeshifter, landlocked wizards Shooting Guns have loosened the chains on a double-wide psychedelic stampede. Sleep-y riff drones meander the prairie plane, giving stoners and weary-eyed roadsters the asphalt jilts. Crunchy roll-off and fuzz stir “Harmonic Steppenwolf” in an ungodly broth of delay and analog FX, while “Dopestrings” is that fateful trundle off the impending buffalo jump. It’s an unrelenting dirge of the heaviest kind – a doomy soundtrack to isolation among one-horse towns and two-horse centres this side of the Canadian Shield. These freaky longhairs are masters of their prey, and leave nothing to waste except your miiiiiiiinds.Du bouillon blasphématoire de Jared Majeski: (Traduit par Odile Leclerc)
Habitant le même enfer qui porte un autre change-forme de wyrd, les sorciers enclavés Shooting Guns ont desserré les chaines sur une débâcle de maison mobile psychédélique. Des bourdonnements de riffs endormis errent dans le plateau de la prairie, donnant aux fumeurs d’herbe et aux torréfacteurs aux yeux fatigués le goût de plaquer l’asphalte. De croquants descentes de fréquences et des émois flous ‘’Harmonic Steppenwolf’’ dans un bouillon blasphématoire d’attente et d’analogue FX, pendant que ‘’Dopestrings’’ est l’acheminent fatidique hors de l’imminent saut de bison. C’est un implacable chant funèbre du genre le plus lourd—une bande sonore de la fin à l’isolation parmi les villes à un cheval et les centres à deux chevaux sur ce coté du Bouclier Canadien. Ces cheveux-longs insolites sont des maîtres de leur proie et ne laisse rien se perdre à l’exception de vos espriiiiiiits.