From the evening perils of Aaron Levin:
As a relic from the triumvirate evenings of dual guitar destruction, Night Danger contains the last recordings Shearing Pinx conjured within their triplicate state. Gripping the mic for the first time, Erin Ward obliterates all previous associations and takes "Sufferer" to a new level of avant-gothery. They further circumvent every convention with "Play Nice", assailing a burnt blues jam into thirteen minutes of distorted twilight and chromatic space. Weaving within the trio's high-level riffery and abject tonal assault, Night Danger uniquely steals this very special space within Canada's creative cosmos. Posthaste grippage.Des périls de soirée d’Aaron Levin: (Traduit par Odile Leclerc)
En tant que relique des soirées triumvirats d’une double destruction de guitare, Night Danger contient les derniers enregistrements de Shearing Pinx conjuré dans leur état triplé. Attrapant le micro pour la première fois, Erin Ward oblitère toutes associations précédentes et apporte ‘’Sufferer’’ à un autre niveau d’avant-gotherie. Ils mettre encore plus en échec chaque convention avec ‘’Play Nice’’, assaillant un jam de blues brûlé en treize minutes de crépuscule tordu et d’espace chromatique. Tricottant dans le haut niveau de riff du trio et d’attaque tonale abjecte, Night Danger vole d’une façon unique ce très spécial endroit dans le cosmos créatif du Canada. Post-dépêche d’attrapage.