From the northern lights of Aaron Levin:
For anyone unable to witness the pantheon of talent germinating within 2010 Alberta, the Sans AIDS // Lake Country split is prime listening. Edmonton's drowned-out, heel-stomping bass-tone mastermind Sans AIDS fills 28 minutes of blistering summertime pop nostalgia; a sound I'll forever associate with the year we all yelled "I Can't Handle This." On the flip-side, Medicine Hat, Alberta ex-pats Lake Country harvest their broiling garage-punk rural jams, a hallmark signal from the infamous Mt. Royal beast that wreaked havoc through Edmonton's sinusoidal consciousness. Essential grippage.Des aurores boréales Aaron Levin: (Traduit par Odile Leclerc)
Pour n’importe qui n’est pas en mesure d’être témoin du panthéon de talent germant dans l’Alberta de 2010, les Sans AIDS//Lake Country divisé est une écoute de premier choix. Le génie de tons de basse à en taper du pied étouffé Sans AIDS d’Edmonton, remplis 28 minutes de brûlante nostalgie pop d’été; un son que j’associerai pour toujours avec l’année où nous avons tous crié ‘’Je peux pas gérer ça! ‘’. D’un autre côté, Medecine Hat, les ex-pats d’Alberta Lake Country récoltent leur jams ruraux de punk de garage entrain de griller, un signal de marque venant des scandaleuses bêtes de Mt. Royal qui ont fait des ravages à travers la conscience sinusoïdale d’Edmonton. Grippage essentiel.