From the sly deliverance of Laura Stanley:
Filling in the cracks of the expansive prairie skyline with their chaotic sounds and distorted pop-rock melodies, Saskatoon’s Jeans Boots emerge as a band in control of their craft. Cutting through the grunge is the sickly sweet voice of Jeans herself: Jeanette Stewart. These four songs quickly captivate thanks to her confident vocal tone and the partnership of moveable guitar hooks. Despite the EP’s robotic title, its core contains a rich well of human emotions: desire, love, and loss. If these feelings suddenly become too intense, the sly deliverance and playful charm of the standout track, “Asshole”, will ease any burdens.
De l’articulation futée de Laura Stanley: (Traduit par les émotions intenses d’Andréanne Dion)
Remplissant les fissures du vaste horizon des Prairies avec ses sons chaotiques et ses mélodies pop-rock déformées, Jeans Boots de Saskatoon apparait comme un groupe qui maîtrise son art. À travers le grunge, on entend la voix mielleuse de Jeans elle-même: Jeanette Stewart. Ces quatre chansons sont captivantes grâce à sa tonalité vocale assurée et à la coopération de rythmes de guitare amovibles. En dépit du titre robotique de ce EP, son noyau contient un puits riche en émotions humaines: désir, amour et perte. Si ces sentiments deviennent tout à coup trop intenses, l’articulation futée et le charme espiègle du morceau, « Asshole », qui se démarque des autres, pourra alléger le fardeau.