From the Tresvant sensitivity of Aaron Levin:
Between the blanketed 90s vibez lurks a definitive mellow eschewed by these Toronto mysteries. Layered guitars glide along powdery tracks paved by staccato bass and infinite drum machinery, making it too easy to whirl endlessly within their chorus of liquid vox. Quite frankly, the dub see has never been softer.De la sensibilité Tresvante d’Aaron Levin: (Traduit par tous les chemins de Maya Keshav)
Entre les ondes couvertes des années 90 une détente définitive se cache qui est rejetée par ces mystères de Toronto. Les couches de guitare planent à côté des chemins saupoudrés pavés par la basse saccadée et la machinerie infinie de batterie, qui le font trop facile de tourbillonner sans cesse dans leur refrain de voix liquides. C’est bien le cas de dire que le dub see n’a jamais été si doux.