From the betamax projections of Aaron Levin:
The twenty minutes of damaged troopadelic beats on Parrot Talk will burn through your grey matter and leave a smelting mess of pulsed lazers, stunted drums, and Wagnerian strings. It's a mire of foot-stimulated addiction; layers of samples folding their intra-rhythms and wooded grooves to create the most danceable video project left of nowhere. The blasted soundtrack joins a burnt mess of digital-soaked colouramas, wonderfully committed to everyone's favorite 80s hold-over (VHS). Thankfully, for those that lack the pawn-shop ephemera, you can view the audible damage here.Des projections bétamax d’Aaron Levin: (Traduit par Odile Leclerc)
Les vingt minutes de battements troopadéliques endommagés sur Parrot Talk vont à travers votre matière grise et laissé un fouillis en fusion de lasers pulsés, de batteries retardées et des cordes Wagnériens. C’est un bourbier d’addiction stimulée par un pied; des couches d’échantillons repliant leur intra-rythmes et leurs cadences de bois pour créer le projet vidéo le plus dansable laissé de nulle part. La bande sonore à fond rejoint le gâchis brûlé des colouramas digitales imbibés, merveilleusement engagé aux VHS survivants des années 80 préférés de tous. Heureusement, pour ceux qui manquent l’éphémère du prêteur sur gage, vous pouvez regarder le dommage audible ici.