From the cream weaver of Aaron Levin:
Apocalyptica within Halifax's midnight Tiki bar. Your math professor is wailing on a saxophone while the pulsing flares of cosmic debris pierce the midnight sky. Sweaty palms grip the last vestige of a shattered harbour. Shells. You sip fruit loops from a half-back crab bowl; sour flashes of crustaceous laced sugar cubes course through your glands, sifting through your intestine. The droning, violent saxophone and battered drums usher the completion of digestion; unwilling to push forward within the rolling, thunderous bass. Languish. Until the waves of post-millennia nu-lounge tether you to oblivion. OBEY.Du tisserand crème d’Aaron Levin: (Traduit par les papilles horrifiées de Maya Keshav)
C’est l’apocalypse dans le bar tiki de minuit à Halifax. Ton prof de maths gémit sur un saxophone pendant que les éclats pulsants de débris cosmique percent le ciel de minuit. Les paumes moites serrent le dernier vestige d’un port brisé. Les obus. Tu sirotes les froot loops d’un bol fait en crabe mi-dos; les éclats aigres de sucre pollué du crustacé coulent dans tes glandes, ils trient tes intestins. Le saxo bourdonnant et violent et la batterie usée font finir la digestion; réticent de poursuivre dans la basse déferlante et tonnante. Dépéris. Jusqu’à ce que les ondes de nu-lounge post-millennia t’attacher à l’inconscience. OBEIS.