From the bloodied home of Aaron Levin:
A churning swamp of distortion oozes from Bloodhouse's debut cassette. It pushes their thunderous pop monstrosity into new dimensions of intensity, molding the Haligonian pop-vocal-phenomenon into walls of spectral noise and sinusoidal chaos. Tracks like Eerie Power tear apart the murky folds of reverb, bearing witness to a brash group of teens spawning havoc within our audio organs. HEAVY.De la maison saignante d’ Aaron Levin: (Traduit par le chaos sinusoïdal de Maya Keshav)
Un marais agité de distorsion suinte de la début cassette de Bloodhouse. Leur pop tonitruant se dépasse aux nouvelles dimensions d’intensité, en modelant le prodige haligonien des chants pop en murs de noise spectral et en chaos sinusoïdal. Les morceaux comme Eerie Power déchiquettent les plis flous de réverbe, en témoignant un gang effronté d’ados qui font des ravages dans nos tympans. C'EST LOURD.