There is something wyrd happening in Lethbridge (aside from the head-shop my cousin operates) and it's seeping out from the strange current of cavernous psychedelic punk that is Endangered Ape; powered, mainly, by a bearded fellow named Paul who's involved (physically or psychically) with a gambit of equally deranged pop-metaphors (Moby Dicks, Myelin Sheaths, Mammoth Cave), all operating in this dubious pocket of civilization skirting the southern border of Canada. Endangered Ape's second album, ape shall not kill ape, channels a wall-of-spectral-noise into their pre-apocalypse evolutionary-doom-punk to create a hybrid assault of roaring-twang and brain-krud. A singular occurrence in Canada's what-the-hell-do-I-call-this spectrum. There are rumors that Endangered Ape are breaking up. I hope not. Perhaps a nation of enthusiasm will keep them together? Go get 'em tiger!
Quelque chose de wyrd se passe à Lethbridge (à part du headshop mon cousin gère) et il suinte du courant bizarre de punk caverneux psychédélique qui est Endangered Ape; en marchant, pour la plurpart, au gars barbu qui s’appelle Paul, qui s’implique (physiquement ou psychiquement) dans plusieurs métaphores de pop également dérangées (Moby Dicks, Myelin Sheaths, Mammoth Cave), qui se passent tous dans cette poche de civilisation qui borde la frontière sud du Canada. Le deuxième album d’Endangered Ape, ape shall not kill ape, amène un mur-du-boucan-spectral à leur doom-morosité-évolutionniste pré-apocalypse pour créer une agression hybride des rugissements nasillards et merde d’esprit. Une occurrence singulière dans la gamme euhhh-c’est-quoi-ça du Canada. La rumeur court qu’Endangered Ape se séparent. J’espère que non. Peut-être une nation d’enthousiasme peut l’aider à rester uni? Allons-y mon tigre!