From the callused knuckles of Farah Barakat:
Three guys walk into a bar and are met by a mischievous bartender who serves them a concoction of green-screened neon colour. They turn into zombie cannibals who turn on the bartender. It’s perfect because it comes from the psychotropic minds of The Soupcans.
The Toronto punk patrons’ brain-melting fury has recently unleashed itself onto our eyes and ears with a video from the title track on their latest EP. The concept is a mixture between a day spent in front of Photobooth on your laptop, playing a sadistic game of Operation and psychedelics. None of this sound bad to you? It’s not. It’s awesome.
Rather than using too much fake blood, a major element in the video, they opt for post-production special effects. Splotches are hastily drawn all over the characters and filled-in with film footage close-ups of raw meat, organs and actual blood. It’s an inventive alternative that adds to the ethereal state of the video. Handheld cameras and gore elements parallel the chaotic, lo-fi track which is aptly titled ‘‘Parasite Brain’’.
De la corne des jointures de Farah Barakat: (Traduit par l’hémoglobine de Catherine Gaucher)
Trois gars entrent dans un bar et sont accueillis par un malicieux barman qui leur sert une mixture de couleur écran-vert néon. Ils se transforment en zombies cannibales et se retournent contre le barman. Le tout est parfait, car cela arrive tout droit de l’esprit sous influence de The Soupcans.
Avec une vidéo pour la chanson-titre de leur dernier EP, ces parrains torontois de la scène punk ont récemment déchaîné leur fureur devant nos yeux et dans nos oreilles. Le concept est un mélange entre une journée passée devant le « Photobooth » de votre ordinateur, à s’adonner au jeu sadique Opération et de psychédélisme. Rien de tout cela ne sonne horrible? C’est parce que ce ne l’est pas. C’est génial.
Plutôt que d’utiliser trop de faux sang, un élément central dans cette vidéo, ils ont opté pour des effets spéciaux créés en post-production. Les éclaboussures hâtivement barbouillées partout sur les personnages sont remplacées par des séquences filmées de gros plans de viande crue, d’organes et de vrai sang. Il s’agit d’une alternative inventive qui ajoute à l’état éthéré de cette vidéo. La caméra à la main ainsi que les éléments « gore » se joignent en parallèle à la chaotique pièce lo-fi judicieusement intitulée « Parasite Brain ».