From the qualitative everflowing continuum of Matthew Swann:
Like some 1910’s Bergsonian meditation on experiential time, Nicholas Brotman’s “Snow Suuun,” breaks down befuddled, intellectual abstraction into stunning, aesthetic immediacy. Hypnotic minimalist rhythms, ground, a textured, melodic wash. Light moves. Shadows move. Even the great grey negotiator between the two, moves. Sound and vision come together, and fall apart. Dazzling views, self ordered from chaos. “Snow Suuun” is a qualitative spectacle. One assembled from warped elegance, alluring ornamentation, and spontaneous beauty.
Du continuum qualitatif illimité de Matthew Swann: (De l'impéritie ontologique de Nicolas Coutlée)
Telle une méditation bergsonienne des années 1910 sur le temps de l’existence, « Snow Suuun » de Nicholas Brotman décompose l’abstraction embrouillée et cérébrale en une expérience esthétique stupéfiante et immédiate. Un flot mélodique et texturé s’échoue sur des rythmes minimalistes et hypnotiques. La lumière se meut. Les ombres se meuvent. Même cette vaste zone grise intermédiaire se meut. Sons et images s’unissent, et se défont. Vues éblouissantes, s’organisant naturellement à même le chaos. « Snow Suuun » est un spectacle qualitatif, fait d’élégance tordue, d’ornements séduisants, de beauté spontanée(http://www.worcesternews.co.uk/news/11347117.It_s_a_double_rainbow__10_beautiful_pictures_of_last_night_s_natural_wonder/).