From the heavenly days of Joshua Robinson:
Citadel’s Joshua Fraser has found us at the precipice of the early morning, its fog lingering loosely, opaque, rendering the stillness of Calgary’s Nose Hill Park utterly palpable before the imminent burst and surge of the sleeping giant below. This isolation, this spirited calm before the storm, this vastness in the heart of close-quarters is captured in the overarching mise-en-scene of the protracted morning. Along with his written Moirai-isms, Fraser combines the visual ("Ode To Dawn") and sonic ("Dawntreader") elements of his mood-form artistry to deliver a sonorous exploration of the ephemerality that hangs ever so quietly before us. Fraser has found his expanse; his divide between the dark and the dividing light; that feeble ground which he walks so hesitantly, lest he step on its countenance, startling it into wakefulness and the end of reverie.
Des divines journées de Joshua Robinson: (Traduit par le terrain miné de Virginie Langlois)
Joshua Fraser, du groupe Citadel nous cueille au précipice du petit matin; un brouillard opaque s’attarde vaguement, rendant la quiétude du Nose Hill Park de Calgary palpable avant le réveil imminent du géant endormi en bas. L’isolement, le calme inspiré avant la tempête, l’immensité du lieu, tout cela est capturé dans la mise en scène générale du matin qui se prolonge. Parallèlement à ses écrits inspirés des Moires, Fraser combine les éléments visuels (« Ode To Dawn ») et acoustiques (« Dawntreader ») de son talent artistique pour se livrer à une exploration sonore de la nature éphémère de tout ce qui repose tranquillement devant nous. Fraser a trouvé l’étendue qui lui convient, sa ligne de démarcation entre l’obscurité et la lumière, ce terrain frêle sur lequel il avance avec tant d’hésitation, de peur de marcher sur une mine, de provoquer le réveil en sursaut, mettant ainsi un terme à la rêverie.