From the flour-dusted dome of Brian Cleveland:
In Andrea Lukic’s world, general inexplicable weirdness occurs. Dig a little deeper and you find their friends in Weed being similarly haunted by their inner workings. Local skateboarders and artists fall into the roles of geriatric villains on an improvised, silent mission. Dazzled by shiny things, smoke and mirrors leave them with nothing of value. It likely took just as much time to clean flour out of their hair as it will take to get this earworm out of your head.Du dôme fariné de Brian Cleveland: (Des épices diluées de Marie-Pier Chevrier)
Dans l’univers d’Andrea Lukic, la bizarrerie est généralisée et inexplicable. Creusez un peu, et vous y trouverez leurs amis de Weed, tout aussi hantés par leurs mécanismes internes. Les skateboarders et artistes locaux succombent au rôle de vilain gériatrique en mission silencieuse et improvisée. Émerveillés par l’éclat de choses scintillantes, ils se retrouvent les poches vides devant tant de poudre aux yeux. Il aura probablement fallu aussi longtemps pour débarrasser leurs cheveux de farine qu’il vous en prendra pour oublier leurs vers d’oreille.