From the homesick longings of Kevin Brasier:
Does the festival backdrop the song? Or does the song backdrop the festival? Both belong to the lovers and losers of the world. Director Colin Medley has the rare ability to transform swamp magic into celluloid without any degradation or loss. How does it make you feel, holding evidence of something impossible?
Par les désirs nostalgiques de Kevin Brasier: (Traduit par les nuances quantiques de David Kohler)
Est-ce le festival qui constitue l’arrière-plan d’une chanson? Or est-ce la chanson qui est l’arrière-plan d’un festival? Les deux appartiennent aux amoureux et perdants de ce monde. Le réalisateur Colin Medley a cette rare capacité à transformer la magie d’un marais en celluloïd sans perte ou dégradation. Ça vous fait quoi d’avoir la preuve de quelque chose d’impossible?