From the nostalgic words of Aaron Levin:
NBA Jam for the Sega Genesis was the second most punk sports game ever (the Mutant League series taking number uno). If you got three dunks in a row some dude yelled out "HE'S ON FIIIIIRE" and you burst into flames and did quad-flip slam-dunks. Weird dunks. Now imagine that basketball player is on fire, wearing fluorescent Nike's covered in time-shit and crystal-snot, death sunglasses, an 80GB ipod, hens teeth, and a jersey from Nowheresville, Ghost Beach. Take a ramshackle of insane kids in the remote recesses of Edmonton's hoodlets and have them dedicate an album to this space-streaming-intelligent basketball player and you might come close to the brilliance of The Wicked Awesomes!'s LP debut Punk Holograms. The album lacks any pretense and obeys no boundaries; from burnt puke-garage to psychedelic mizrahi-surf, the red-lights on your stereo will burst with wrecked synth-lines and skirt-chasing guitar-riffery. It's a beautiful pawnshop display-case of wastoid-punk. Brilliant. Amazing. Fantastic. Wicked. Awesome. A sure-shot contender for best album of 2009 on any continent.
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin:
NBA Jam pour le Sega Genesis était le deuxième jeu sportif le plus punk de tous (la série Mutant Leage prenant la première place). Si vous faites trois paniers de suite un mec quelconque criait ‘’ IL EST EN FEU’’ et vous preniez en feu et faisiez un violent panier pirouettant quatre fois. Étranges paniers. Maintenant imagines que le joueur de basket est en feu, portant des Nike fluorescents et couvert de merde, de morve de cristal, de lunettes de soleil de la mort, d’un iPod de 80GB, de dents de poules et un gilet venant de Nullepartville, Plage Fantôme. Prenez des d’enfants fous dépenaillés venant des recoins éloignés des quartiers d’Edmonton et faites leur dédier un album à cet intelligent joueur de basket qui circule dans l’espace et vous allez peut-être venir près de la brillance des débuts LP Punk Holograms de The Wicked Awesomes!. Cet album n’a pas de prétentions et n’obéit à aucune limite; du garage vomit* brûlé au surf mizrahi psychédélique, les lumières rouges sur votre stéréo vont explosées d’épaves de lignes synthétisées et des riffs de guitares qui courent les jupons. C’est une belle vitrine de punk wastoid* de prêteur sur gage. Brillant. Stupéfiante. Fantastique, Malade, Géniale. Un prétendant certain pour le meilleur album de 2009 sur n’importe quel continent.