Aaron Levin
Turn out the lights. Light a candle. Slip into something comfortable. Take it off. Grab a drink and come back to the hot tub. Weird Canada is for sharing and I'd like to introduce someone to you. His name is Thomas. His new album, S E L F H E L P is the post-smooth hyperbole you've been waiting for all day. Fetch me a towel. Allow me to wipe the bubbles off my body and talk seriously for a moment. Thank you. Thomas takes off where the late-70s AOR, yacht-rock movement degenerated into slap-bass bull-crappery and his interpretations are bang-on. In the most serious fashion Thomas covers the gambit from Jodeci/Guy-jack-swing, Hall-and-Oats-esque yach-synth, and Sade--is-his-operator smoothness. Thomas has attended the Tim Buckley school of singing, accentuating his verses with grunts and hollers, bringing this pop-explosion into an other-worldly palm-tree paradise. There are elements of every pop cliche executed brilliantly and fashionably. It's tasteful, sexcellent, and most importantly, strange; dripping with creative genius, every channel of pop has been approached from bizarre, acute angles producing unimaginably beautiful results. It's the soundtrack to an alternate, psychedelic beach party where every dead celebrity is getting down; martinis in their ageless hands tipping their glasses to the young boy riding on the smooth-rock shoulders of pop giants. Need more? Check out the video to Thomas' hit Don't Think, Just Hate
Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav )
Ferme les lumières. Allume une bougie. Mets quelque chose de confortable. Enlève-le. Prend une verre et reviens au jacuzzi. Weird Canada, c’est pour partager, et j’aimerais te présenter quelqu’un. Il s’appelle Thomas. Son nouveau album, S E L F H E L P, c’est l’hyperbole post-smooth dont tu attendais toute la journée. Amène-moi une serviette. Laisse-moi essuyer les bulles de mon corps et parler sans plaisanter pour un moment. Merci. Thomas commence où ce qu’on appelle AOR (album-oriented rock) des années 70 et le mouvement yacht-rock ont dégénéré en claque-basse merde et ses interprétations sont tout à fait parfaites. Dans la façon la plus grave Thomas fait une gamme de Jodeci/Guy-jack-swing jusqu’au yacht-synth Hall-and-Oats-esque, et Sade-est-son-opérateur suavité. Thomas est allé à l’école Tim Buckley de chanter, en accentuant ses vers avec les grognements et les hurlements, il amène cette explosion de pop à un paradis mystique des palmiers. Il utilise les éléments de chaque cliché de pop brillamment et chiquement. C’est de bon goût, sexcellent, et le plus important, bizarre; il coule avec le génie créatif, chaque genre de pop est abordée des coins bizarres et aigus en produisant des résultats inimaginablement beaux. C’est la bande-son d’une fête à la plage alternative et psychédélique où chaque célébrité morte danse; les martinis dans ses mains éternelles font tchin-tchin au jeune garçon qui chevauche les épaules lisses des géants de pop. T’as besoin de plus? Regarde la vidéo de le hit Don't Think, Just Hate de Thomas.