From the nostalgic words of Aaron Levin:
Feral Children is the 2009 electronic Tim Buckley; a forward-thinking, genre-hybridization of trends existing in the ethers of our musical consciousness. Where Tim Buckley channeled jazz, folk, and psychedelia to produce "emotional bellowing from the depths of a drug vortex" (dr. lloyd - waxidermy), Feral Children interpolates the fluxes of psychedelic-pop brewing on the borders of electronic music. His new songs are poppier, thicker, and voluminous; yet they conjure the same looping-pedal+drum-machine pop-lysergia present on his first album - now with more low-end, more psych, and more dance. It's a welcomed progression we rarely see on sophomore albums. A+++++++, fast shipping, will listen again.
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin:
Feral Children est le Tim Buckley électronique de 2009; une pensée avancée, une hybridation des genres de tendances existant dans l’éther de nos consciences musicales. Où Tim Buckley canalisait du jazz, du folk et de la psychédélie pour produire un ‘’ hurlement émotionnel des profondeurs d’un vortex de drogue’’ (dr.lloyd-waxidermy), Feral Children interpole les flux de pop psychédélique planant sur les frontières de la musique électronique. Ses nouvelles chansons sont plus pop, plus épaisses et volumineuses; mais elles conjurent la même pédale en boucle + lysergie pop de boîte à rythmes présentes sur son premier album- maintenant avec plus de bas de gamme, plus de psych et plus de danse. C’est une progression bienvenue que nous voyons rarement sur des albums de deuxième année. A+++++++, expédition rapide, nous allons l’écouter encore.