Aaron Levin:
Burnt puke from Montreal. I meant to write "punk" but I'm going to leave it. Why? Because the SLOBS are a larynx-shredding overload of pubescent attitude and mental retardation. It's a sickeningly youthful resonance that'll get you amped enough to jump in a garbage can and have sex with a pimp in the pursuit of creating a new definition of trashy. They're demo is a Stand-By-Me-barf-o-rama; a beautiful debauchery too awful to look away. You will stare, gaping and hoping to God the guttural baritone of SLOBS' frontman doesn't jump in your mouth and punch your mind. The best part? It's so straight you know the songs have to be brilliant. They're not afraid to pull the stops: pick slides, tempo changes, busted solos, and hooks. Also riffs, man. And they've got 'em. Get on their level before they put you there. G'YEAH.
Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav)
Le vomi brûlé de Montréal. J’avais l’intention d’écrire “voie” mais je vais le laisser rester. Pourquoi? Parce que les SLOBS sont une surcharge larynx-déchiquetante d’attitude pubère et du retard mental. C’est une résonance ignoblement jeune qui va te dynamiser jusqu’à ce que tu sautes dans une poubelle et coucher avec un maquereau en quête de créer une nouvelle définition de trashy. Leur demo est un Stand-By-Me-barf-o-rama; une débauche belle trop affreuse pour détourner le regard. Tu vas fixer, bouche bée, et tu vas espérer de tout coeur que le baryton guttural du chanteur des SLOBS va pas sauter dans ta bouche et donner un coup de poing à ton cerveau. Le meilleur? C’est si mainstream que tu sais que les chansons devrait être brillantes. Il n’ont peur de rien: les pincements des glisses, les changements de rythmes, les solos foutus, et les accroches. Et les riffs, mon ami. Et ils les ont. Joins-toi au leurs rangs avant qu’ils te mettent là. G'YEAH.