Aaron Levin
The past three years have seen Shearing Pinx focus their creative blasts from harsh noise-punk to decimating experimentalism, tying together streams of sans-wave, noise, 90s-whatever-rock, and experimental every/any/something.Weaponry, Shearing Pinx’s first of two slated albums on Halifax’s Divorce Records, is by far their most meditative release and leaps into the unchartered netherlands of post-ritual druid-wave; ruminating vocals pierce through our cosmetic musical barriers and channel sinusoidal rhythms embedded within searing pleas of release (I’m really trying to convey a feeling I’ve had while listening to this record for the past four days straight and it’s hard). Fourier would be proud as the album converges; inspiring, leading, and transcending national boundaries in an effort to present the world with one the best adjective-punk records of 2009. My highest recommendation.
Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav )
Pendant les trois dernières années Shearing Pinx s’est concentré ses explosions créatives sur le rock bruitiste dur jusqu’à l’experimentation décimante, en mélangeant les flots de sans-wave, du boucan, de rock-n’importe-quoi des années 90m, et TOUT ce qui est d’experimental. Weaponry, le premier album des deux de Shearing Pinx prévu par Divorce Records de Halifax, est de loin leur enregistrement le plus méditatif, et il saute dans les déserts inexplorés de druid-wave post-ritual; les chants ruminants percent un trou dans nos barrières musicales cosmétiques et acheminent les rythmes sinusoïdales enfoncées dans les appels torrides de la rélâche (J’essaie vraiment de transmettre une sensation que j’ai eu en passant cet enregistrement depuis quatre jours et c’est difficile). Fourier serait fier quand l’album converge; en inspirant, guidant, et dépassant les barrières nationales pour tenter de présenter au monde un des meilleurs enregistrements adjectif-punk de 2009. Vivement conseillé.