Aaron Levin
I'm glad we've decided to embrace the great aspects of New Age music. By the end of the 80s, trendsetters were growing tired of elevator drug-mart schmaltz and Windham Hill compilations. It's 2010 and kids are incorporating the more ethereal and beautiful elements into all kinds of chaos; noise, ambient, and, in the case of Calgary's Memory Screen, woven-ethers and ornamental-folk. Memory Screen's debut album is ambitious and careful, unafraid to incorporate unlikely vibrational sources into its ethos (concréte sounds (wind, water, leaves), choirs, and non-traditional instruments)). It's the kind of record you only find in Calgary or Montreal and I really don't understand why. Surely, there must be other inspirational sources enabling basement dwellers to meander on the edge of subliminal acoustics. Wake up, Canada, and get with the new age. It's mellow.
Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav)
Je suis heureux qu’on a décidé d’adopter les grands aspects de la musique new wave. À la fin des années 80, les lanceurs de mode se fatiguaient de la sentimentalisme de l’ascensceur de la pharmacie et les compilations Windham Hill. C’est 2010 et les gars sont en train d’incorporer les élements plus aériens et beaux dans toutes sortes de chaos; le rock bruitiste, l’ambiance, et, en cas de Memory Screen de Calgary, les cieux tissés et le trad ornemental. L’album début de Memory Screen est ambitieux et soigneux, il n’a pas peur d’integrer les sources improbables et vibrantes dans sa philosophie (les bruits concrets (le vent, l’eau, les feuilles), les chorales, et les instruments non-traditionnels)). C’est le genre d’enregistrement qu’on trouve seulement à Calgary ou à Montréal et je le comprend pas vraiment. Je suis sûr qu’il y a des autres sources inspirantes qui permettent aux habitants du sous-sol de vagabonder au bord de l’acoustique subliminale. Réveillez-vous, Canada, et mettez-vous à la plage de new age. C’est serein.