From the tantramaratic marshes of James Goddard:
There is a special bite to the wind that blows off the Tantramar. Fred Squire's songs are modeled after that marsh wind. They wake you up. Expertly positioned, every layer arranged like a plate in a drying rack. The voice, guitar, drums, piano; one after another. Fred wants you to watch him build these songs. He draws your attention to the process, to the pedals and the microphones, the tape and the instruments; it's an attention to recording. He's showing you how to make something sound ecclesiastical, reverential, like the wind. While at the same time never allowing one to losing sight of the fact that underneath all that is a man with a guitar and a voice like a paragon.Des marais tantramariens de James Goddard: (Traduit par Odile Leclerc)
Il y a un mordant spécial au vent qui souffle sur le Tantramar. Les chansons de Fred Squires sont modelées de ce vent de marais. Ils vous réveillent. Positionné expertement, chaque couche arrangée comme une assiette sur un support de séchage. La voix, la guitare, les batteries, le piano; un après l’autre. Fred veut que vous le regardiez bâtir ces chansons. Il attire votre attention dans le procédé, vers les pédales et les microphones, la cassette et les instruments; c’est une attention d’enregistrer. Il vous montre comment faire sonner quelque chose ecclésiastique, révérenciel, comme le vent. Pendant qu’au même moment il ne permettrait jamais de perdre de vue le fait qu’en dessous de tout ça il y a un homme avec une guitare et une voix de parangon.