From the Teddy Riley jacketed body of Aaron Levin:
D'Eon returns with a new moniker and a time-lapsed sound no less forward looking than the last. Veering away from the cosmic meanderings of wa al-'asr (by the time) and plunging wrap-first into New Jack Swingery, D'EON delivers like no other methamphetamine-infused Much Music dance party. The whole trip is soaked in d'Eon's psychedelic twilight, making it the ideal late-night, post-apocalyptic high-on-life-but-I'm-still-down-on-everything soundtrack to your small-town fashion-school graduation party. Your not-really-friends are passing rails in a bathroom while you're saluting a full-moon on the apex of an abandoned farm-house; Sony Walkman™ giving portable life to d'Eon's mellow tech flowing through your veins. Meanwhile, Teddy Riley is sitting in a blackstreet-funded mansion with a giant grin and the speach bubble reads: "it's about time, whoa jam."Du corps en manteau Teddy Riley d’Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav)
D’Eon revient avec un nouveau nom et un son chronocinématographique qui est aussi tourné vers l’avenir que son dernier album. En déviant des vagabondages cosmiques de wa al-'asr (by the time) et en sautant wrap-en-avant dans le New Jack Swing, D’EON réussit comme aucune autre fête de danse Much Music remplie de la méthamphétamine. Le voyage entier est trempé de la pénombre psychédélique de d’Eon, grâce à laquelle c’est la bande-son parfait en-nocturne, post-apocalyptique, défoncé-à-la-vie-mais-je-m’en-fou-du-tout pour ta fête des finissants de l’école de mode de ta petite ville. Tes pas-vraiment-des-amis prennent la drogue dans les toilettes pendant que tu salues une pleine lune sur le sommet d’une ferme abandonnée. Au même temps, Teddy Riley s’est assis dans un manoir financé par le blackstreet avec une sourire énorme et la bulle dit: “il était temps, whoah boeuf.”