From the not-so-bad vibrations of James Goddard:
Sometimes I imagine a future where everyone has forgotten what a guitar actually sounds like; Children brought up on a steady diet of French pop and Swedish 8-bit. Eventually, current trends like lo-fi would become ailments listed in the DSM VII with prescriptions like: 2 hours of Kumbaya orchestrated by battery-operated MicroKorgs (twice daily, with food). Things would be bad. Luckily former Dog Day drummer KC Spidle has strapped on a six string and stepped to the foreground to ensure such a future will never happen. Bad Vibrations play guitar music. They play the kind of three piece power-pop that begs for adjectives like dark or gloomy; and they play it well. Eschewing any kind of overt studio trickery, the members of Bad Vibrations (KC, Evan and Meg) have put together a crisp sounding record that subtly recalls that classic 90s Halifax sound. Nothing could be further from an all-electro dystopia. [Levin's Note: James forgot the positive side of an all-electro dystopia: Gino Soccio all day 'ere day.]Des vibrations pas si males de James Goddard: (Traduit par Odile Leclerc)
Des fois j’imagine un futur où tout le monde a oublié comment une guitare sonne actuellement; Children a apporté une diète stable de pop Français et de 8-bit Suédois. Éventuellement, les tendances présentes comme le lo-fi deviendront des maux listés dans le DSM VII avec des prescriptions comme : 2 heures de Kumbaya orchestré par MicroKorgs dirigés par batteries (deux fois par jour avec de la nourriture). Les choses iraient males. Par chance, l’ancien batteur de Dog Day KC Spidle a attaché sur lui un six-cordes et avancé en premier plan pour assurer qu’un tel futur n’arrivera jamais. Bad Vibrations jouent de la musique de guitare. Ils jouent le genre de pop puissant de trois pièces qui supplie pour des adjectifs comme sombre et lugubre; et ils le jouent bien. Évitant toute tromperie de studio ouvert, les membres de Bad Vibrations (KC, Evan et Meg) ont assemblé un enregistrement croustillant qui nous rappelle subtilement ce son classique d’Halifax des années 90. Rien ne pourrait être plus éloigné d’une dystopie toute électro. [Note de Levin : James a oublié le côté positif d’une dystopie toute électro; Gino Soccio toute la journée.]