From the foggy dome of Kyle Valade:
Sweet but far too short, the party that is the Racoon 7” burns fast, fuzzily and with a hint of sentimentality. Chase Franson’s vocals don’t layer on top of the noise but come from right inside it, like a democratic haze of sound that also harbors a banshee, floor tom, and some real good garage rock. The lyrics are difficult to pick out, but that seems to be calculated, enhancing the dream-like substance that Zen Mystery Fogg has created. Not dream-like in a Mazzy Star kind of way, more like when you’re trying to remember one of those odysseys that happens once every couple of years after last call. Kingfisher Bluez sure knows how to pick ’em.
Du foyer brumeux de Kyle Valade: (Traduit dans la rêverie par Audrey Roy)
Douce, mais clairement trop courte, la fête que nous propose le Racoon 7po s’embrase rapidement en fumée avec une certaine touche d’émotions. La voix de Chase Franson ne couvre pas la chanson, mais vient plutôt de l’intérieur, comme un son sortant d’une épaisse brume qui hébergerait également une banshee, un tom sur pied et du bon vieux rock de garage. La difficulté à comprendre les paroles semble avoir été prévue par Zen Mystery Fogg dans le but d’intensifier l’essence rêveuse de leur création. Ce n’est pas comme le type de rêverie que nous donnerait Mazzy Star, mais plutôt comme lorsqu’on essaie de se souvenir de ces odyssées, à la sortie des bars, qui n’arrivent qu’une fois aux quelques années. Kingfisher Bluez a un talent incontestable pour les dénicher.