From the bald ego of Jared Majeski:
Now comfortably ensconced in four-piecedom, Peace Country picaros Zebra Pulse have a new full length of electronic boundary-making: phonetic digital trills, cracked vinyl fuzz and percussive gangles steering the ship (close) to oblivion. Possibly less harsh but more layered and clear, Heh, Vay Bae-Bays is somewhat surprisingly their first studio recording, and if the song titles are any indication, proves to be a weird, funny and uncomfortably profound experience. This latest noise confessional was released to the world the only way possible: enlisting a droid-inspired street artist and hiding said droids along with cassettes of b-side studio recordings around the city for people to find.
Have you ever taken a trip and not known at all where you were heading? That’s the kind of steeze oozing from the Zebra Pulse gaskets. Just another day in The City of Champs.
De l’ego flagrant de Jared Majeski: (Traduit par Natalie Binda)
Maintenant confortablement constitué en quatuor, Zebra Pulse, les picaros de la Rivière de la Paix, repousse les frontières de l’électronique avec leur nouvel album : trilles vocales numériques, crépitements de vinyle fuzzé et rythmes dégingandés guidant le navire jusqu’à l’oubli (ou tout près). Sans doute moins cru mais plus limpide et texturé, Heh, Vay Bae-Bays, étonnamment leur premier enregistrement studio, se révèle, si on se fie aux titres de chansons, une expérience bizarre, drôle et inconfortablement profonde. Ce plus récent cri du coeur noise a été livré au monde de la seule façon possible : avec l’aide d’un artiste de rue passionné de droïdes, des cassettes de b-sides accompagnées des dits droïdes ont été dissimulées en ville afin d’être retrouvées. Avez-vous déjà fait un voyage en ignorant votre destination? Voilà exactement le genre d’attitude pénarde qui émane de la mécanique de Zebra Pulse. Un autre jour dans la Ville des Champions.