From the cryptic winds of Joshua Robinson:
The earth opens and swallows everything. Buildings somersault about themselves and whirl alongside mountains that devolve to their pre-tectonic state. The forests of the Laurentian Plateau crack and splinter as demon-spawning hellfires consume their hulking and barky greens. Yet, in the wake of this dénouement, the stirrings of something darkly sweet ripens the landscape. YlangYlang’s Catherine Debard exists as a great geological seamstress, stitching together the earth’s deep post-apocalyptic fissures with ethereal post-New Age soundscapes that are hauntingly bare in their composition. Consisting of collaborations with several Montreal-based electro lo-fiers, Cottonhead see-er is the incarnation of our blistered earth gasping for breath, its songs those sounds that would rain down from fractured skies, crimson red as cryptic winds proffer sedimentary gifts, ephemera that, for a brief moment, reside in the footprints of their artefactual ancestors; buildings of sand somersaulting to and resurrected by the mighty Cottonhead see-er, its sounds those of the earth breathing life back into itself.
Des vents cryptiques de Joshua Robinson: (Traduit par les cieux morcellés de Hugo Hyart)
La Terre s’ouvre et engloutit tout. Des bâtiments font des saltos sur eux-mêmes et tournoient le long de montagnes qui régressent à leur état pré-tectonique. Les forêts du Bouclier Laurentien craquent et éclatent tandis que des feux infernaux se démultipliant démoniaquement consument leur verdure et colosses aux abois. Pourtant, dans le sillage de ce [dénouement]* (http://www.cormacmccarthy.com/works/the-road/), les frémissements de quelque chose de sombrement agréable font mûrir le paysage. Catherine Debard de Ylang Ylang prend existence comme une grande couturière géologique, suturant ensemble les fissures profondes post-apocalyptiques de la Terre et paysages sonores éthérés post-New Age qui sont obsédamment dépouillés dans leur composition. Constitué de collaborations avec plusieurs [basse-fidéliteurs] électro (http://weirdcanada.com/2013/09/new-canadiana-54m1-54mpl132/) Montréalais, Cottonhead see-er est l’incarnation de notre Terre boursouflée haletante pour un peu d’air, ses chansons chantent ces sons qu’il pleuvrait de cieux morcellés, du rouge pourpre déguisé en vents cryptiques profère des cadeaux sédimentaires, éphémères qui résident dans les traces de leurs ancêtres artefactuels ; des bâtiments de sable faisant des saltos à ce rythme et sont ramenés à la vie par le grand Cottonhead see-er, ses sons ceux de la terre qui réinspire.