From the dream cage of Lyndsey Browne:
On stage or in your mouth, Yellowteeth demand attention. We can hear all the desires to drive around fast with your friends, drink too many cups of coffee, smoke cigarettes and not to worry about the labels on the pack, on the cup, on yourself. This foursome has the truthful lyrics of young lives, “You wanted a boy, you wanted a party too” with a mean pop-punk howl. Get it while it's hot, because Sackville is popping off like it’s Diwali, speed-balling in front of Guru Nanak. José Caron's guitar leads off this stellar Killer Haze release and kicks the '80s back where they belong.
De la boîte à rêves de Lyndsey Browne: (Traduit sur les speedballs par Dominic Mpilé)
Quand on se rend compte qu’on a les dents jaunes, on sait que ça ne date pas d’hier. Même chose lorsqu’on aperçoit Yellowteeth sur scène pour la première fois. On entend tout le désir de rouler à toute vitesse avec ses amis, les trop nombreux cafés, cigarettes et on se fout de la marque ou de ce qu’on projette. Ce quatuor sait écrire des paroles authentiquement jeunes : «Tu voulais un chum, tu voulais faire le party aussi» lâche-t-on dans un cri pop-punk féroce. Saute dessus pendant qu'il est temps, car Sackville vibre comme si c’était Diwali sur les speedballs devant Guru Nanak. La guitare de José Caron mène cet album stellaire signé Killer Haze et renvoie les années 1980 aux oubliettes.