From the brooding darkness of James Lindsay:
It’s been a big year for Hamilton’s WTCHS, whose mournful post-hardcore could be a soundtrack for Steeltown in decay. On “Overkilmer/Some Girls” they have a chilly, haunted echo like the members of Fugazi holding a séance to channel the spirit of young Robert Smith. This contrasts their live performances, where the lights go off, the bottom drops out, and all the shadows nod their heads in agreement with the brutish monster that broods in the dark. They’re never afraid to share their releases with kindred souls, but hopefully there’s a solo LP looming just over the horizon.
On the flipside, Toronto’s morticians of rock ‘n’ roll, Das Rad, exhume their strongest work to date. Like a deranged surgeon sewing bits of bodies together, they graft the Cocteau Twins’ romantic moods and non-lyrical vocalizations with Black Sabbath’s cloak and cross wearing proto-metal. Surprisingly, the Promethean they create is anything but dour, loving life as it reenacts Saint Vitus’s dance around the room, even though it dresses only in black.
Des ténèbres rampantes de James Lindsay: (Traduit par la danse de Saint-Guy désapprise de Nicolas Coutlée)
Grosse année pour le groupe WTCHS de Hamilton, dont le post-hardcore mélancolique pourrait servir de bande sonore à la ville de l’acier en déclin. L’écho paisible et fantomatique de « Overkilmer/Some Girls » résonne comme si les membres de Fugazi tenaient une séance de spiritisme pour entrer en contact avec le jeune Robert Smith. Cette ambiance contraste avec leurs concerts, où les lumières s’éteignent, quelque chose se brise, et soudain les ombres se mettent à hocher de la tête à l’unisson avec la bête sauvage qui rôde dans les ténèbres. Le groupe ne craint pas de partager la vedette avec des âmes compatibles, mais heureusement un album solo point à l’horizon.
De l’autre côté, les croque-morts du rock and roll, les Torontois de Das Rad, exhument leurs meilleures pièces à ce jour.Tels des chirurgiens fous couseurs de bouts d’organe hétéroclites, ils greffent au romantisme et aux vocalisations sans paroles des Cocteau Twins le proto-métal à croix et tunique de Black Sabbath. Surprenamment, la créature prométhéenne qui voit le jour n’a rien d’effrayant, mais incarne plutôt l’amour de la vie alors qu’elle réinterprète [la danse de Saint-Vitus] tout de noir vêtue.Grosse année pour WTCHS de Hamilton dont le