From the evil twin of Chris Yee:
Truro’s Woolworm come from a harsh, unforgiving place. Indeed, they might well have emerged from a mirror universe. Unlike their worshipful West Coast counterparts, these purveyors of false metal bear no blankets to cover your world-weary shoulders. Nope, this horde of Sabbath-pilfering noise-punks would rather you freeze out on the rocks, lashed by their relentless Atlantic waves. “Slow death to false stoics,” indeed.
Du jumeau diabolique de Chris Yee: (Traduit par Jessica Grenier)
Woolworm, de Truro (Nouvelle-Écosse), vient d’un endroit dur et impitoyable. Il pourrait vraiment provenir d’un univers parallèle : contrairement à leurs homologues d’adorateurs de la côte ouest, ces pourvoyeurs de faux métal n’apportent aucune couverture pour couvrir vos épaules éreintées. Non, cette horde de noise-punks pilleurs de Sabbath préfèrerait vous laisser geler sur la grève à vous faire fouetter par les vagues implacables de l’Atlantique. C’est vraiment une « mort lente pour les faux stoïques ».