From the post-existential reverie of Adam Bradley:
For White Poppy’s eponymous Not Not Fun LP, Crystal Dorval transmutes the soft, grey clay of her shimmering ambience into sparkling, etch-textured gold. A splendorous idol aloft an ionic column, she looms down and imparts the power to dance upon its worshipers through the fog of a post-existential reverie. An impermanent rave in purgatory. The air becomes honey, sparks crackle from footfalls and the stirring clouds whorl with a pastel palette. Here, there is a distant joy and an eternal promise of beautiful things.
De la rêverie post-existentielle d’ Adam Bradley: (Traduit par l’instruction éphébique de Nicolas Coutlée)
Sur l’album homonyme de White Poppy paru chez Not Not Fun, Crystal Dorval transmue l’argile grise et friable de ses ambiances chatoyantes en lingots d’or ciselés et étincelants. Telle une idole sublime perchée sur une colonne ionique, elle pose son regard sur ses adorateurs et leur accorde le pouvoir de danser à travers le brouillard de cette rêverie post-existentielle. Un rave éphémère au purgatoire. L’air devient miel, des étincelles jaillissent de sous les pieds nus et des nuages s’élèvent en tourbillons pastels. Ici, le bonheur n’est jamais loin et promet à jamais la beauté infinie.