From the ignis fatuus of James Lindsay:
Daydream drone-pop as seen through a cotton snow squall of sleep as you lay in bed after first opening your eyes, trying to recall what just happened in your head. Don’t get out of bed right away, snuggle up in this comfy quilt of sunshine fuzz and bass hooks that could be the heartbeat of the person sleeping next to you. But under all this is a note of something more sinister, something kept at bay by all this cheerfully blurry minimalism, like a pack of dogs, but darker.
De l’ignis fatuus de James Lindsay: (Traduit en ronronnant par Catherine Debard)
Rêveries drone-pop, une vision à travers une bourrasque de sommeil ouateux comme de gros flocons confortables, le corps fondu sur un lit défait, les paupières, fissures entrouvertes pour la première fois en tentant de se souvenir de ce qui vient de se passer. Ne pas sortir du lit encore, s’emmitoufler dans cette courtepointe de fuzz solaire (qui éblouit) de lignes de basse qui pourraient être le battement de cœur de la personne allongée à côté. Mais, en dessous de tout ça, quelque chose de plus sinistre, quelque chose d’enfoui dans ce joyeux flou minimaliste, comme une meute de chiens, mais en plus sombre.