From the juvenile chills of Pavan Brar:
Waxlimbs’ World Makers is the consequence of overexposure to suburban landscapes, a psychotic lapse induced by fields of concrete and shopping complexes — a perfectly rational adjustment to a mad milieu. Yet, the puzzlement found here is not without its concomitant of clarity and insight, an enduring sanity which sublimates the moments of tension and anxiety into the more colourful instances embedded within the album’s 15-track progression. Organic synth textures and drum sequencing serve as a mode of representation for the kind of inner subjective state wherein one finds themselves aware that they breath, eat, sleep, and defecate in a suburban town, and are condemned to do so again tomorrow. World Makers is the translation of this spatio-temporal situation — and the internal context it brings with it — into a series of landscapes carved out in sound, communicating the emotions invoked by the suburban scenes they designate in reality.
Des frissons juvéniles de Pavan Brar: (Traduit par l’extravagance impétueuse de Joannie Pharand)
World Makers de Waxlimbs est le résultat d’une surexposition aux paysages de banlieue, une folie psychotique causée par les champs de béton et les centres commerciaux, un ajustement parfaitement rationnel à un environnement fou. Pourtant, la perplexité que l’on retrouve ici n’est pas sans une clarté et une perspicacité qui existent de façon parallèle, une raison continue qui transforme les moments de tension et d’anxiété en des moments plus colorés, qui sont incrustés dans la progression en 15 chansons de l’album. Les textures organiques du synthétiseur et les enchaînements de la batterie deviennent un mode de représentation pour le genre d’état subjectif intérieur où une personne prend conscience du fait qu’elle respire, mange, dort, et défèque dans une ville de banlieue, et qu’elle est condamnée à recommencer le lendemain. World Makers est l’adaptation de cette situation spatio-temporelle et du contexte intérieur qu’elle entraîne en une série de paysages taillés dans le son, qui communiquent les émotions invoquées par les scènes des banlieue qu’ils représentent dans la réalité.