From the golden ray migration of Penny Clark:
Watermelon’s self-titled tape absolves like a new day, taking in anxieties and insecurities, then banishing them with an unqualified eyebrow raise. The guitar tone pricks and soothes like icy rain, as skulking basslines tread darkly over rotting leaves. Reverb-drenched vocals drip with stolid apathy towards the manifold bruises that are consequentially human. Steady drums provide an underlying sense of serene optimism, a reliability that signals the continuation of life going on and of you being pretty much okay. Anesthetic music for lovers who don’t love anybody and for misanthropes who do. The most Pacific Northwest surf.
De la migration au rayon doré de Penny Clark: (Traduit par les secrets de Julie Forget)
La cassette éponyme de Watermelon absout comme un nouveau jour en saisissant les angoisses et les insécurités, les chassant ensuite d’un haussement de sourcils sans réserve. Le ton de la guitare perce et apaise comme une pluie glaciale pendant que les lignes de basse discrètes marchent mélancoliquement sur des feuilles en décomposition. Des voix trempées de réverbération ruissellent avec une impassible apathie vers les multiples contusions qui sont donc humaines. La batterie constante procure une impression sous-jacente d’optimisme serein, une fiabilité qui indique que la vie continue et que tu t’en sors plutôt bien. De la musique anesthésiante pour les amoureux qui n’aiment personne et pour les misanthropes qui aiment quelqu’un. Le surf le plus Nord-Ouest Pacifique.