From the academically distracted delerium of Caleb John Schriver:
Vulva Culture’s In Vain syndicates the eerie, melodic, and anxious sound of Halifax’s North End district. Early shoegaze and doo wop jazz meet at the Lynchian Road House in a fly-by-night covert romance.
Reverberating guitar riffs and operatic vocals ring out like rusted springs of old furniture, where reclining rhythms wear on your posture. In Vain is a safe haven for emotional deluge, an incubator of familiar comfort built by somber feelings and propelled by the beauty found in coming to terms with what ails you.
Du délire académiquement distrait de Caleb John Schriver: (Traduit par le fredonnement anxieux de Mathieu Bédard )
In Vain de Vulva Culture regroupe les sonorités étranges, mélodieuses et anxieuses du quartier North End d’Halifax. Du shoegaze primitif et du jazz doo wop se rencontrent dans un bar routier lynchien, le temps d’une romance illicite et secrète.
Les riffs de guitare réverbérés et les chants lyriques retentissent comme les ressorts rouillés de vieux meubles, dont les rythmes inclinables usent votre posture. In Vain est un abri sécuritaire pour déluge émotionnel, un incubateur de réconfort familier construit en hébergeant des sentiments perturbés, propulsé par la beauté qu’on trouve à accepter ce qui fait mal.