Weird_Canada-Volur-Disir

Using Germanic paganism as muse, Völur kneel down in veneration of the Disir. Celebrating the wrathful and beneficent Norse goddesses of old, the trio appropriately cycle through a variety of polarized textures. Extended doom metal improvisations fit for the halls of Odin’s Valhalla begin the saga, featuring the versatile Laura Bates on violin — which one could swear was an electric guitar. Sustained chants, Celtic-sounding string parts and trance-like doom encapsulate their sound. But as droning and meditative as it is, Disir has a tendency to culminate in orgiastic melody, capable of raising hair on a bald man’s head. The perpetrators of this exercise in heathenism (Lukas Gadke of Blood Ceremony, James Payment of Do Make Say Think, and Laura Bates of Trent Severn) released Disir on 2014’s Spring Equinox. One need only look to the stars to anticipate their follow-up release.

Utilisant le paganisme germanique comme muse, Völur vénère et s’agenouille devant le Disir. Célébrant les divinités nordiques qui personnifient la vieillesse, ces déesses colériques et bienveillantes, le trio passe convenablement d’une texture polarisée à l’autre. La saga débute avec de longues improvisations de doom metal qu’on retrouverait dans les couloirs du Valhalla d’Odin. Avec la versatile Laura Bates au violon, on pourrait jurer qu’il s’agit en fait d’une guitare électrique. Leur mélodie se résume à des chants soutenus, des parties de corde au son celtique et du doom trancesque. Mais aussi stridulant et méditatif qu’il soit, Disir a tendance à culminer en une mélodie orgiaque, capable de faire fleurir le cuir chevelu d’un homme chauve. Les auteurs de cet exercice païen (Lukas Gadke de Blood Ceremony, James Payment de Do Make Say Think et Laura Bates de Trent Severn) ont sorti Disir à l’équinoxe du printemps 2014. Il suffirait simplement de jeter un regard vers les étoiles pour anticiper leur prochaine sortie.


Völur - Es wächst aus seinem Grab


Völur - The Deep Minded