From the well-worn slate of Jason Rule:
Stare out the window at the steel grey skies, steel grey minds, steel grey rhymes for steel grey times. Around the corner you hear primal screams, unforgiving drones, and punked out transmissions in the alley behind the armoury. Walk down James in a haze, with overdrawn, fractured rhythms that unspool and reassemble themselves in just as much time (did I hear this in the back of the brain /// or was it just my brain?) Safe to say, I’m happy with what my friends are up to.De l’ardoise érodée de Jason Rule: (Traduit par les balles perdues de Benoit Arcand)
Contemple par la fenêtre le gris acier des cieux, le gris acier des esprits anxieux, entends les salamalecs gris acier de ce siècle gris acier. Des cris primaux retentissent au coin de la rue, d’impitoyables drones, des transmissions punkifiées dans la ruelle derrière le magasin d’armes. Déambule sur James, dans la brume, au son des rythmes saccadés, tapageurs qui se débobinent et s’enroulent en un instant (ai-je entendu ceci derrière ce cerveau /// ou est-ce une fabrication de mon cerveau ?) En tout cas, je suis content de ce que mes amis font ces temps-ci.