From the weathered report of Gregory Pike:
One 1936 July day, in Winnipeg, it was a record 42.2 °C (visualize: the hallucinatory sweat-fever of Shearing Pinx’s “Violence”). On Christmas Eve 1879, it was -47.8 °C (visualize: the hypothermic chaos-scramble of Velvet Chrome’s “Étude en Psychobilly”). That’s a 90 °C disparity. A disparity large enough to match the range of kraut-drone, hypno-pop, and space-terror on this comp from Dub Ditch Picnic — the ’Peg’s home of the strange. Somehow, all at the same time, it’s the soundtrack to both lying in the summer sun on a patchwork quilt blanket, and going snow-blind in some prairie field, lost and kilometres from home.
Du rapport de Gregory Pike, exposé aux intempéries Gregory Pike: (Traduit par le thé noir aromatisé à la confiture de bleuets de Julie Mayer)
En juillet 1936, Winnipeg a connu un record de chaleur atteignant 42,2 °C (imaginez la fièvre et les suées hallucinatoires de « Violence » de Shearing Pinx). En 1879, il a fait -47,8 °C à la veille de Noël, (imaginez le brouillage chaotique et hypothermique de « Étude en Psychobilly» de Velvet Chrome). Entre ces deux pôles, une variation de 90 °C ; un écart assez grand pour le comparer à l’éventail de drone allemand, de pop hypnotique et de terreur spatiale qui forme cette compil de Dub Ditch Picnic ? la maison de l’étrange de Winnie. D’une manière ou d’une autre, c’est à la fois le disque idéal pour lézarder sous le soleil estival, étendu sur une courtepointe en patchwork ou contracter la cécité des neiges dans une prairie perdue située à des kilomètres de chez soi.