From the maniacal machination of Mark Anthony Brennan:
Airborne robo-drones poked through the billowing brown smoke, prodding on the huddled workers as they marched in unison to the Church of Machinery. “Give praiz to the great godz of commerz!” clanged a loudspeakered voice. Risking reprisal, one worker hesitated in his step to avoid crushing a cockroach beneath his boot. The bulbous creature was half the size of his foot, fed as it was on the radiated by-product of industrial progress. It was repulsive. But it was a survivor and it was free. That was worth saving. “March! March, you offal. The Sacred Engine waits for no one.”Des machinations maniaques de Mark Anthony Brennan: (Traduit par l’odeur de fumée de Jessica Grenier)
Des drones robotiques traversent les colonnes de fumée brune, forçant la foule compacte d’ouvriers cheminant vers l’Église des machines à avancer d’un bloc. « Louez les SSSeigneurs du commersse! » scande la voix mécanique d’un haut-parleur. Un ouvrier hésite un instant le pied en l’air, s’exposant à des représailles pour éviter d’écraser une coquerelle. La créature bulbeuse, nourrie par les sous-produits irradiés du progrès industriel, est presque aussi longue que sa semelle. Elle est dégoutante, mais libre : c’est une survivante, elle mérite d’être sauvée. « Avance, paquet de viande! L’Engin sacré n’attend pour personne! »