From the incidental boogie of Jesse Locke:
Meg Remy’s latest transmission is another paradigm-shifting blast of powerful and empowering POP. Following last year’s A+++ long-player GEM and the trunk-rattling “Island Song” remix she’s now teamed with the notorious Onakabazien as overtime partners in crime. His dusted soul strut and blunted beats on the first three tunes of this EP swirl around Remy’s passionate trills like a rhinestone cape, while “Disco 2012” brings Louis Percival’s echo raps to the forefront on a melancholy mirrorball lament. GRIP.
De la danse accidentelle de Jesse Locke: (Traduit par les déboires académiques d’Andréanne Dion)
La plus récente transmission de Meg Remy est une autre explosion de pop libératrice et puissante qui déplace les paradigmes. Après l’excellent disque GEM de l’année dernière et le cliquetant remix de « Island Song », elle fait maintenant équipe avec le célèbre Onakabazien, complice des heures supplémentaires. Sur les trois premières chansons de ce EP, son soul poussiéreux et ses rythmes émoussés tourbillonnent autour des trilles passionnées de Remy comme une cape en strass, alors que « Disco 2012 » met en avant le rap en écho de Louis Percival sur une complainte mélancolique en boule disco. À SAISIR.