From the truth-bombs of Mark Teo:
Like their hometown on Hamilton, TV Freaks possess an untameable --- cough, ungentrifiable --- streak. Their brand of punk is misanthropic, antisocial and, not surprisingly, devoid of art-school pretension. Beneath a Flipper-esque wall of distortion, though, lies a razor-sharp, tongue-in-cheek sense of humour. The speedy “Mall Punk,” deadpans that “I wish I had convictions”; “Freelancer,” atop a Male Bonding-esque lead, drops a truthbomb with the line that “I know a guy who does it cheaper”; “Identity Crisis,” comes across as a brattier, crustier, Angry Samoans, and it might very well be the EP’s finest offering. Call it ugly music for ugly people.
De la vérité explosive de Mark Teo: (Traduit bras dessus bras dessous par Roxanne Navai et Nicolas Coutlée)
Comme Hamilton, leur ville d’origine, les TV Freaks ont un côté sauvage, pour ne pas dire impossible à embourgeoiser. Leur style de punk est misanthrope, antisocial et, sans surprise, exempt de la prétention caractéristique aux écoles d’art. Mais derrière le mur de distorsion Flipperesque se cache un humour ironique, tranchant comme un rasoir. Sur la frénétique « Mall Punk », le chanteur fredonne impassiblement qu’il aimerait avoir des convictions; sur l’air Male Bondingesque de « Freelancer », la vérité tombe comme une bombe : il connaît un gars qui peut le faire moins cher; sur « Identity Crisis », peut-être le meilleur morceau du EP, on croirait entendre les Angry Samoans, seulement plus aigres et effrontés. En gros, de la musique laide pour des gens laids.